Exploitation d’album – A trois on a moins froid [+documents à télécharger gratuitement]

13 juillet 2024 0 Par Les Trésors de l'Apprentissage

L’exploitation d’album c’est une excellente manière d’apprendre de nouvelles notions, d’approfondir des apprentissages et de proposer des activités transversales autour d’une même thématique : l’histoire d’un album jeunesse. 

C’est le cas avec ce petit ouvrage paru à l’Ecole des Loisirs

Ce livre raconte l’histoire de Kipic le Hérisson et de Casse-Noisette l’Ecureuil qui ont très froid dans leurs maisons à cause d’une coupure de chauffage. Casse-Noisette vient donc sonner chez Kipic en espérant pouvoir se réchauffer ensemble. Sauf qu’en s’allongeant tous les deux, les piquants du hérisson blessent l’écureuil. 

Ils se rendent donc ensemble chez Touffu le Lapin en espérant que celui-ci puisse trouver une solution. Et ce dernier leur propose donc de dormir chez lui. Mais afin d’éviter une séance d’acupuncture de la part de Kipic, le Lapin s’installe entre ses deux amis, car sa grosse fourrure de lapin angora le protègera. Ainsi, les trois amis sont contents, ils ont chauds et ne sont pas gênés par les piquants du hérisson. 

C’est vraiment une histoire très simple, mais terriblement efficace auprès des enfants. Nous possédons ce livre depuis longtemps (à vrai dire, je l’avais acheté avant la naissance de Zélie) (oui j’ai toujours été une mordue de livres^^) et nous prenons toujours plaisir à le lire en hiver (et pas seulement). 

Les illustrations sont vraiment très jolies. Elles sont faites à l’aquarelle et accentuent la douceur de l’histoire. 

J’aime beaucoup la notion d’entraide et d’amitié qui émane de cette histoire. Le hérisson et ensuite le lapin n’hésitent pas à ouvrir leur maison pour leurs amis afin de trouver ensemble une solution au problème qui se pose. Chacun dans son coin, les animaux ont froid. Alors ils décident de se réunir pour se réchauffer et trouver une astuce pour éviter que les piquants du hérisson ne blessent les autres. L’histoire finit bien et la « morale » fait la part belle à l’amitié et au fait qu’il y a toujours une solution face aux problèmes qu’on rencontre.

Cet album a beaucoup plu à Zélie, puis à Malo lorsqu’ils avaient 3-4 ans, maintenant c’est au tour de Marius de le lire et c’est aussi à son tour de profiter des activités autour de cet album. En effet, j’avais déjà préparé des petits ateliers autour de ce livre à Zélie puis à Malo, mais nous étions à cette époque en co-schooling et j’avais été moins loin dans l’exploitation. Cette fois, je suis heureuse de vous présenter toutes les activités que nous avons réalisées avec Marius pendant notre semaine « spéciale A trois on a moins froid ». 

Vous trouverez dans cet article le descriptif des activités classées par « matière ». Pour rappel, Marius a 3 ans mais tout n’est pas à u niveau Petite Section puisque je suis la progression de mon fils qui est déjà lecteur. Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à adapter les activités à vos enfants. 

Langage. 

La première chose est de se procurer le livre. Il ne coûte pas très cher en petit format à l’Ecole des Loisirs, vous pouvez le retrouver en cliquant sur ce lien, ou bien en format album un peu plus grand, à retrouver ici.

A trois on a moins froid - Teteenlire

– Montrer la couverture à l’enfant et demander ce qu’il voit. C’est un exercice de langage oral, pour travailler la conception de phrases, l’utilisation du vocabulaire, mais aussi l’occasion de parler des différents éléments de la couverture : le titre, le nom de l’autrice, de l’illustrateur. 

– les images séquentielles permettent à l’enfant de reconstituer le fil de l’histoire en plaçant les cartes dans l’ordre du récit. On travaille ainsi non seulement le repérage dans l’espace, mais également le langage si vous lui demandez de vous raconter l’histoire en s’aidant des images. Les images séquentielles que j’ai utilisées viennent du blog La classe des gnomes 

– résumer et illustrer : chaque semaine, je propose à Marius de me résumer une histoire (Je recopie exactement les mots qu’ils me dit). Si votre enfant a quelques difficultés pour raconter l’histoire, n’hésitez pas à lui poser des questions, petit à petit, il prendra de l’assurance et vous ne saurez plus l’arrêter. Ensuite, Marius illustre son résumé. Il aime avoir sous les yeux une page du livre, mais cela peut très bien se faire « de tête ». 

– Pour nous, cela a été l’occasion de découvrir le digramme « IN » comme dans « LAPIN ». Marius est de plus en plus à l’aise avec la lecture de mots et de petites phrases phonétiques, alors j’ai choisi de focaliser les apprentissages de lecture sur un digramme : celui formé par le I et le N. Je lui explique que quand le I et le N se donnent la main, ce sont des lettres amies et ensemble elles forment un nouveau son. Grâce aux lettres mobiles du coffret de Céline Alvarez, Marius a pu encoder le mot LAPIN. Pour cela, toujours la même consigne quand on encode et qu’on a les lettres nécessaires sous les yeux « ohlala les lettres sont toutes mélangées ! Tu veux bien les ranger pour écrire le mot ? » En manipulant les lettres, Marius se rend alors compte qu’ici, le I ne fait pas iiiiiiii et que le N ne fait pas nnnnnn, mais qu’ils forment un seul son, puisque les 2 lettres sont attachées et représentées en vert : la couleurs des lettres amies ! 

– discrimination auditive : j’entends, je n’entends pas le son IN. A la maison, nous utilisons les aimants MAGDUM, et avec les différents lots que j’ai pu acheter, nous avons un très grand choix d’animaux et ces aimants nous servent à beaucoup de choses et notamment en phonologie. Ici on discrimine le son IN. Quand j’entends IN je mets dans la colonne de gauche. Quand je n’entends pas IN, je mets dans la colonne de droite. C’est aussi l’occasion d’apprendre de nouveaux mots de vocabulaire (comme daim, oursin …) Ici on ne se focalise pas sur l’orthographe du digramme, mais bien sur le son qu’il produit. Le but n’est pas d’apprendre comment le son s’écrit, mais de l’entendre dans les mots. 

Si vous souhaitez réaliser cette activité, voici des cartes pour remplacer les aimants, vous pouvez les télécharger en cliquant sur la photo ci-dessous : 

– chercher ensemble d’autres mots qui contiennent le son IN. 

– entourer les mots quand on entend le son IN : j’aime garder une trace écrite des activités de phonologie, c’est aussi l’occasion de travailler avec différents supports et de restituer les connaissances acquises précédemment. On ne passe jamais aux exercices sur feuille tant que la notion n’est pas maîtrisée en atelier de manipulation. Vous pouvez télécharger la fiche de discrimination auditive en cliquant sur la photo ci-dessous.

– dictée muette autour du son IN. La dictée muette c’est l’autre nom du jeu d’association mot/image. L’enfant lit un mot et doit retrouver l’image correspondante. Cette dictée muette ne comprend que quelques cartes mais elle se focalise uniquement sur les mots qui contiennent le son IN. Afin de faire travailler la mémoire et de mettre le corps en mouvement, j’installe les mots et les images dans des pièces éloignées, ainsi, Marius lit le mot, puis il va chercher l’image ailleurs, il est donc obligé de retenir ce qu’il lit et surtout de comprendre ! La dictée muette du son IN est à télécharger en cliquant sur les photos juste après. J’ai mis les 3 graphies, à vous d’utiliser celle qui convient le mieux à votre enfant.

– la décomposition des mots en syllabes : le son IN. Pour faire cet exercice, je me suis inspirée du travail de Léa, alias Jeune Maman Extra-Terrestre sur les réseaux sociaux qui a créé un matériel similaire pour les mots phonétiques (il y a plus de 50 mots de deux syllabes à reconstituer dans son fichier, allez vite consulter son compte !). Ici encore il y a plusieurs manières de procéder. Le fait de varier les propositions ravive l’intérêt de l’enfant pour le matériel. Vous pouvez par exemple poser le dessin et la première syllabe, puis lui demander de retrouver la deuxième syllabe. Vous pouvez aussi demander à l’enfant de trouver les 2 syllabes qui correspondent à l’image. Vous pouvez télécharger les cartes de la décomposition des mots en cliquant sur les photos.

– graphisme. J’ai trouvé deux documents sur des blogs d’enseignantes, je les ai imprimés et j’ai fait la consigne à ma sauce. Dans le premier, Marius a réalisé des lignes verticales en collant des gommettes. Dans le deuxième, il a fait des lignes horizontales avec les empreintes de ses doigts. Pour le graphisme, nous nous focalisons sur les lignes verticales et horizontales en ce moment, d’où le fait que ces documents tombaient à pic ! Ils viennent du site internet Materalbum 

– pâte à modeler. La pâte à modeler a énormément de succès à la maison auprès de Marius qui adore la manipuler et auprès de moi qui y vois une véritable opportunité de muscler les mains en vue de l’apprentissage de l’écriture. Nous faisons de la pâte à modeler toutes les semaines et ça permet à Marius d’apprendre des gestes, d’être plus minutieux, de doser son effort … Ici on a réalisé les piquants du hérisson de notre histoire en faisant des colombins très fins. J’ai imprimé ce modèle de hérisson et je l’ai plastifié pour que la pâte à modeler ne colle pas dessus. En plus c’est réutilisable ! (cliquez sur l’image ci dessous pour la télécharger)

Mathématiques 

– à la maison nous possédons plein de figurines des marques Schleich, Papo ou encore Safari. Les enfants adorent jouer avec, et moi j’adore les utiliser pour les apprentissages ludiques. Ici j’ai pris les trois animaux de notre histoire : le lapin, l’écureuil et le hérisson, puis on a fait un petit jeu de topologie pour réviser le vocabulaire spatial : « mets le hérisson entre le lapin et l’écureuil », ou bien « le lapin est arrivé premier à la course, l’écureuil est arrivé deuxième, le hérisson est arrivé troisième », ou encore « le lapin est le dernier de la file », ou bien « place le hérisson devant le lapin et derrière l’écureuil « … bref, il y a plein de situations possibles, c’est assez rigolo comme jeu ! 

– associer une quantité à son chiffre. On travaille le nombre jusque 6 pour le moment avec Marius et le jeu d’association chiffre/quantité revient très souvent : j’aime par exemple proposer des jeux à Marius où il doit lancer un dé et donner autant de pièces au playmobil qu’indiqué sur le dé (ça marche avec plein plein d’autres matériels : des glands et une figurine d’écureuil par exemple). Ici nous sommes sur un exercice que j’appelle « trace écrite » : comme je l’ai expliqué, ces exercices arrivent bien après la manipulation. Ici, Marius doit coller le chiffre qui correspond à la quantité d’animaux dans le tableau. J’ai utilisé les visuels du livre bien entendu. Vous pouvez télécharger le document en cliquant sur la photo ci-dessous. Si votre enfant sait écrire les chiffres il pourra le remplir lui-même, sinon n’hésitez pas à écrire les chiffres de 1 à 6 sur des petits carrés de papier que l’enfant pourra coller. 

– de la numération associée à de la logique : dans chaque maison, tu dois mettre 3 animaux différents.. Le document se trouve en dessous. 

– Algorithme : ça aussi c’est le genre d’activités que nous réalisons très souvent : continuer des séquences algorithmiques afin de travailler la logique. Là aussi je varie énormément les propositions, les difficultés, le matériel pour toujours susciter de l’intérêt pour l’activité : ici on va donc proposer une séquence algorithmique et laisser l’enfant la continuer. Selon les capacités de l’enfant, vous pouvez commencer par une séquence de type 1/1 (on alterne 2 objets : pion rouge, pion bleu) ou bien on peut compliquer les choses : 1/2/2/1 (un rouge, un bleu, un bleu, un rouge…) ou 1/2/3/1 (un jaune, un rouge, un bleu, un jaune…) Dans ce document, vous trouverez plusieurs vignettes qui représentent les 3 personnages du film. A vous de créer la séquence qui vous convient sur une feuille blanche (on oublie pas de tirer un trait vertical ou horizontal à côté) et de laisser l’enfant la terminer. Pour ma part, j’ai même laissé Marius couper ses vignettes : l’utilisation des ciseaux est un apprentissage de longue haleine qui est parfait pour la motricité fine et les activités de préécriture puisqu’on muscle la main sans s’en rendre compte. 

– le fameux puzzle de la couverture, c’est vraiment l’activité phare des exploitations d’albums ! J’ai téléchargé celui de Maitresse Lunicole. Elle en propose 3 dans son article (4, 6 ou 9 pièces). C’est une activité très simple pour Marius qui réalise des puzzles de près de 40 pièces maintenant, cependant, j’aime lui proposer ce genre d’activités parce que ça travaille d’autres compétences comme l’utilisation de la colle, la précision de ses gestes pour faire coïncider les bords de chaque pièce … 

– Sur chaque couverture : colle autant d’animaux que demandé. J’ai pris le modèle de la couverture du hérisson dans le livre, j’ai ajouté un petit panneau (de 1 à 6 puisque c’est ce qu’on travaille) et Marius doit coller autant d’animaux qu’il est noté dans le panneau. Je n’ai pas proposé de contrainte en ce qui concerne la similitude ou la différence des animaux mais c’est tout à fait possible. pour télécharger cette activité, vous pouvez cliquer sur les 3 photos. 

Découverte du monde. 

Lire des albums c’est aussi l’occasion de parler d’autres sujets plus vastes. Ici je me suis focalisée sur les animaux de manière générale, mais pas que .. 

– jeu de tri et d’observation : Marius a du trier les cartes et mettre ensemble celles qui représentent l’écureuil, le hérisson et le lapin. J’ai choisi de mettre différentes représentations de chaque animal (dessin, silhouette, photo…) mais aussi des zoom sur des parties de l’animal ce qui oblige à bien observer. Vous pouvez télécharger le document en cliquant sur les photos. 

– C’est doux, ça pique : Marius adore les jeux de tri. Là je lui ai préparé un plateau avec plein d’éléments et il devait mettre ensemble les objets qui piquent et ensemble les objets doux. On pourrait proposer ce genre d’activité les yeux bandés, avec la présence accrue d’un adulte pour surveiller les gestes de l’enfant. 

– classer les animaux dans l’ordre croissant ou décroissant. Le document se télécharge en cliquant sur les photos

– cartes de tri : chaud, froid. Marius confond les deux adjectifs, pour lui, la neige est chaude, la soupe est froide ! Donc c’est l’occasion d’insister sur ce vocabulaire. Ici le jeu de tri se fait sous forme de cartes que vous pouvez télécharger juste dessous. 

– première classification des animaux pour identifier les caractéristiques du lapin, de l’écureuil et du hérisson. On a pris toutes les cartes, puis on a trié ce qui est vivant et ce qui ne l’est pas. Pour rappel, pour qu’un élément soit considéré comme vivant, il doit cocher toutes les caractéristiques suivantes : il naît, il grandit, il se nourrit, il se reproduit, il meurt. Les 3 personnages sont donc des êtres vivants. 

Ensuite on trie les cartes selon les caractéristiques : animal/végétal : nos personnages sont donc 1. des êtres vivants 2. des animaux. 

Ensuite on va étaler les cartes « ANIMAL » (celles qui ont été classées en tant que telles au jeu de tri précédent) et dessous, on va venir placer une vignette qui correspond au nombre de pattes, mais aussi au mode de reproduction (ovipare et vivipare) et au pelage (poils, plumes, écailles). Ainsi, pour chaque animal, nous avons 3 caractéristiques. ATTENTION : lorsqu’on établit la classification phylogénétique des animaux, on ne prend en compte que les attributs des animaux, c’est à dire ce qu’ils ONT (et non pas ce qu’ils sont ou ce qu’ils font). Le mode de reproduction ne permet pas de classifier les animaux selon la méthode scientifique, mais elle permet une autre méthode de classification en rapport avec cet item là ! ca reste toujours intéressant de connaître le mode de reproduction des animaux. A la fin de l’activité : l’enfant pourra dire que le hérisson, le lapin et l’écureuil ont tous les 3 quatre pattes, des poils et ils sont vivipares. C’est l’occasion d’avancer un nouveau mot de vocabulaire : ce sont des mammifères. Pour aider l’enfant dans son activité, j’ai créé 3 cartes avec plein de photos (utiles ou pas au jeu de tri), ainsi, les « réponses » se trouvent dans ces cartes d’informations et cela permet un première approche de la recherche scientifique par l’enfant, à travers l’observation. Pour télécharger les cartes de tri et d’informations, c’est en dessous. 

– Les régimes alimentaires du hérisson, du lapin et de l’écureuil. 

Pour jouer à ce jeu, vous aurez besoin de découper chaque carte. Pour les cartes « aliments », veillez à ce que le côté « animal » reste caché. 

Placez les 3 animaux sur la table puis demandez à l’enfant ce qu’ils mangent en plaçant les cartes aliments sous les bons animaux. Une fois le tri fait, on retourne les cartes aliments : contrôle de l’erreur ! Si vous voulez aller plus loin, vous pouvez proposer des règles du jeu : une bonne réponse : on avance les animaux vers leur maison. une mauvaise réponse : on récupère un flocon. Le but du jeu est d’arriver dans la maison avant d’avoir 4 flocons. 

Imprimer les deux images précédentes recto-verso

Arts visuels 

Je trouve que l’exploitation d’album se prête très bien aux productions d’arts plastiques ! Pour notre semaine spéciale A trois on a moins froid, j’ai proposé une séance d’arts visuels par jour. 

– réaliser un hérisson en pâte autodurcissante : matériel : de la pâte autodurcissante (Action pour ma part), 3 perles, des cure-dents qu’on casse en deux, de la ouate et un support en bois. On commence par prélever une quantité de pâte. On fait une boule et on vient tirer sur un « côté » (oui, je sais qu’il n’y a pas de côté sur une boule, mais je fais ce que je peux pour expliquer ^^) pour réaliser le museau. au bout du museau, on enfonce une perle, puis 2 autres pour faire les yeux. Ensuite on vient piquer les morceaux de cure-dent dans le reste de la boule. Puis on laisse sécher. On colle des morceaux de ouate sur le support en bois pour faire la neige, puis le hérisson dans la neige.

– le lapin : imprimer le gabarit sur du papier épais et découper la silhouette. Couper de petits brins de laine (laisser l’enfant faire, motricité fine, tout ça, tout ça…) et les coller sur le lapin. A l’aide d’un tampon, réaliser des empreintes rondes avec de l’encre bleue de différentes teintes. Quand c’est sec, coller le lapin par dessus. 

– l’écureuil : imprimer le gabarit sur du papier épais et le peindre en marron. Découper les 2 silhouettes quand c’est sec. Peindre le rouleau de PQ. Venir coller les silhouettes de part et d’autre du rouleau ! 

– la couverture et les trois personnages : sur une feuille épaisse, tracer des lignes verticales avec un pinceau et de l’encre rose. Quand c’est sec, tracer des lignes horizontales avec un pinceau et de l’encre violette : comme la couverture du hérisson. Coller les trois silhouettes comme sur la couverture du livre. Vous pouvez télécharger les silhouettes en cliquant sur la photo ci-dessous

J’espère que cette présentation vous aura plu ! N’hésitez pas à me dire si vous avez utilisé mes documents. Si vous souhaitez ajouter d’autres activités, vous pouvez le faire en commentaires, cela inspirera d’autres lecteurs 🙂 

Age de Marius au moment des activités : 3 ans et 5 mois